Je l’ai rencontré un soir d’hiver, il inaugurait son salon, véritable cocon de bien-être au 40 rue des mathurins. Puis je l’ai revu une semaine plus tard, pour en parler. Pour Nicolas Vlaemynck, c’était l’aboutissement de toute une vie.
La fabuleuse histoire de Nicolas Vlaemynck, D’ABORD UNE PASSION
Après plus de 20 années d’expérience dans mon métier (…), je décide de créer mon lieu en privé pour une pause, une parenthèse de bien être et de luxe, affirme Nicolas.
Ce qui l’anime, vous l’aurez déjà compris, c’est une passion : « celle de rendre les femmes toujours plus jolies » confie ce coiffeur au coeur d’or et aux mains de fées.
Depuis mon plus jeune âge, j’étais fasciné par les cheveux, les formes et la beauté féminine.
UNE CARRIERE CHEZ DE GRANDS NOMS
Nicolas débute sa carrière à Lille, chez Dessange; il y reçoit une formation poussée à la Haute coiffure et c’est par son travail acharné qu’il parviendra à se hisser aux « standards » de la Maison, comme il le dit. Alors invité à la prestation du directeur artistique de Dessange, Bruno Piittini, Nicolas a une révélation :
Un jour, ce sera mon tour !
L’AVENTURE PARISIENNE DE NICOLAS VLAEMYNCK
Pour mettre à bien son projet, Nicolas sait qu’il doit quitter Lille pour Paris. Il y fera deux rencontres déterminantes : celle de Michèle Cauvin et Camille Albane.
Six ans après avoir été ébloui par Bruno P., je réalisé mon premier show et ce rêve : me tenir à cette place…
Je cours alors les studios, la télé, les défilés, puis les festivals de films : les planches à Deauville, la croisette à Cannes, Florence, Marrakech… Je rencontre et coiffe les stars du grand écran.
Monica Belluci, Uma Thurman, Bérénice Bejo, autant de noms du cinéma et de chevelures qui sont passées entre les mains expertes de Nicolas.
ET maintenant, nicolas ?
Fort de ma connaissance du métier, je sillonne l’Europe pour former de nouvelles équipes à la demande de la Maison Dessange. J’enchaîne alors les shows à travers l’Europe avec l’Oréal,Wella et Davines.
Vous y retrouverez aussi les sublimes produits Kevin Murphy et Balmain (article prochainement sur cette découverte coup de coeur là aussi)
Et maintenant, le souhait le plus cher de Nicolas, c’est de retrouver à Paris, nous dit-il, l’art des grandes heures de la Haute Coiffure.
La création de mon écrin s’impose à moi comme une évidence.
Et quand on s’y rend, l’évidence prend alors tout son sens.
Un grand merci à Valérie, qui se reconnaîtra.